14 octobre 2010, par Alice Delmotte-Halter, dans Dossiers
Pourquoi le cinéma
On est dimanche à la fin d’août. Il pleut c’est le vent d’ouest c’est lui qui amène la pluie. Traverser les halles : courir. Les gens s’abritent. Terrasses délaissées. Fin de l’été. Il est quinze heures. Alors on (…)
13 octobre 2010, par Élisée Reclus (1830-1905), dans Restitutio
La mer était calme et phosphorescente ; à temps égaux le navire entr’ouvrait la vague en poussant un grondement sourd comme celui d’un énorme cétacé ; les voiles enflées par la brise imprimaient aux mâts de suaves balancements : tout (…)
11 octobre 2010, par Henri de Régnier, dans Dossiers
À Paul Alfassa.
C’est un tableau très amusant. Dans une sorte de baraque foraine dont on distingue, au fond de la toile, les planches mal jointes et dont le sol est jonché de paille, se dresse une estrade basse sur laquelle parade, (…)
9 octobre 2010, par Aliette G. Certhoux,
Damien Spleeters, dans Masse critique
Il y a en cette demeure
un esprit emprisonné qui rêve de s’évader. *
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Part maudite et activisme littéraire
PRÉSENTATION
Damien Spleeters (né à Montignies-sur-Sambre le 9 avril 1986, près de Charleroi, en Belgique) (…)
8 octobre 2010, par Henri Cachau, dans Création
En ce temps-là, Vélasquez excellait dans la transcription des ragots de cour madrilène, mettait en scène des gnomes, des infantes, des bouffons, des ministres, des anges, des dominations, par leur intermédiaire démontrait comment ce (…)