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La bibiothèque idéale de Mathias Lavin 

2005, par Mathias Lavin

Plaisir régressif (la liste) et culpabilisant (que suis-je en train
d’oublier ?). Plaisir sans régression ni culpabilité : donner envie de lire
ou relire, comme les autres "bibliothèques idéales" peuvent susciter cette
envie en moi.

Je me limite à vingt titres, sans trop réfléchir et sans repentir ni
relecture.

Comme seul commentaire : il ne s’agit ni d’un monument, ni d’un palmarès
(encore moins), mais de ce qui fait date au moment où j’écris ces
propositions en vue d’une bibliothèque idéale :

L’attente l’oubli (Blanchot) ; Perceval (Chrétien de Troyes) ; Ostinato
(Louis-René des Forêts) ; Est-ce que je peux placer un mot ? (Dominique
Fourcade) ; Les Vagues (Virginia Woolf) ; Le Livre de l’intranquillité
(Fernando Pessoa) ; Journal (Kafka) ; La vie de Henry Brulard (Stendhal) ;
La rose de personne (Paul Celan) ; L’homme ordinaire du cinéma (Jean Louis
Schefer) ; Thèses sur l’histoire (Walter Benjamin) ; Les Enfants Tanner (Robert
Walser) ; Vita Nova (Dante) ; Minima Moralia (T. W. Adorno) ; Moriendo (Roger
Laporte) ; Pétrole (P. P. Pasolini) ; Poèmes de Michel-Ange ; Requiem pour
Fanny Goldmann (Ingeborg Bachmann) ; Le Poème continu (Herberto Helder) ; La
troisième partie de L’Homme sans qualité et les chapitres inédits (Robert
Musil).

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