En réponse à :
24 août 2010, par Régis Poulet
Peut-être, un jour, la littérature indienne aura-t-elle l’honneur de ne plus passer à la moulinette des abstracteurs de quinte essence postcoloniale ? A ce moment-là, nous pourrons faire comme si c’était une littérature normale, je veux dire une littérature qui s’offre à lire et n’est pas vouée à servir – en vertu d’un cycle karmique engrené au moment de l’Indépendance de 1947 – quelque théorie post, ou transcoloniale, dernier avatar d’une critique toujours pas remise d’avoir quitté le centre pour la (...)