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10 octobre 2015, par Aliette G. Certhoux
à Edwige Belmore
II. LE VOYAGE A TANGER
Vincent, Dalilah, Banquier, Croupier, Directeur des jeux, Vieux.
1. Vincent et Dalilah
2. Dalilah dans le souk
Note : Baccara (le jeu)
Le Voyage à Tanger — 1. Vincent et Dalilah
De lourds conditionneurs encombrent le haut des fenêtres, partiellement masquées par des rideaux. Sous (...)
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28 avril 2012, par Aliette G. Certhoux
Sarkomer — mot allemand qui en français signifie « sarcomère » : « Unité fonctionnelle contractile de la fibrille musculaire striée, représentée par le segment compris entre deux stries. » — selon le Robert. Autre Merkozy.
Un peu d’analyse rétro-prospective s’impose à propos des Présidentielles françaises. Et si l’on s’y adonne, alors on verra, n’en déplaise aux amis qui se contentent d’attaquer le principe (...)
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9 octobre 2010, par Aliette G. Certhoux,
Damien Spleeters
Il y a en cette demeure
un esprit emprisonné qui rêve de s’évader. *
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Part maudite et activisme littéraire
PRÉSENTATION
Damien Spleeters (né à Montignies-sur-Sambre le 9 avril 1986, près de Charleroi, en Belgique) est un jeune poète et romancier publié en Europe francophone pour ses ouvrages de librairie, lauréat du Prix Indications du Jeune Critique 2007 (attribué à son premier roman (...)
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30 janvier 2014, par Aliette G. Certhoux
Pour ceux qui sont à Paris il faut se dépêcher d’aller voir le spectacle expérimental et transgenre TETRAKAÏ sous le chapiteau dressé à La Villette jusqu’au 9 février inclus. C’est exceptionnel — entendre que la qualité de la recherche est jamais vue, mais en outre que les conditions sont tellement aléatoires et nombreuses, et ce genre de spectacle coûteux quoique sans les paillettes qui attirent les (...)
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2 décembre 2013, par Aliette G. Certhoux
À propos de l’ouvrage de Valérie Guillaume sur Jean Baudrilllard et le Centre Pompidou, à paraître durant la première semaine de décembre 2013, voici un compte rendu critique non exhaustif, avec quelques idées personnelles (en particulier sur la rupture de Oublier Foucault dans le parcours de son auteur), et ressenti, de l’après-midi du 28 novembre à la BnF consacrée à Jean Baudrillard, lors de (...)
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4 juin 2013, par Peer C. Hansen,
Ken McKenzie Wark,
Aliette G. Certhoux
Voici le cas particulier de notre temps, le temps de désintégrer le spectacle. Le détournement s’est avéré un énorme mouvement social et global, en tout sauf le nom. Des millions de personnes sont là, à partager la culture pour une raison ou pour une autre, à partager des fichiers et à les refaire. Mais il y a deux problèmes en soi. D’abord, la refonte — le détournement — n’est pas critique. Cela ne (...)
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8 août 2017, par Aliette G. Certhoux
Jean-Paul Curnier est mort le 5 août 2017. Inhumé le 8 août au cimetière d’Arles. Sa disparition serait une catastrophe mais il ne disparaîtra pas. Son œuvre prolifique dit que sa vie posthume en correspondances multiples prendra son temps.
Si l’humour est une substance de la pensée c’est au moment où l’incongruité ne fait pas seulement advenir le rire mais jusqu’à l’altérité en existence. L’humour est (...)
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31 octobre 2011, par Aliette G. Certhoux
TRAVAIL EN COURS DE CHANTIER - MERCI DE VOTRE COMPRÉHENSION FACE AU DÉSORDRE DE LA CONSTRUCTION ACCUMULANT UNE SOMME DE NOTES ET DE RÉFLEXIONS DE PREMIER JET.
Merci de ne pas imputer ce synopsis critique et le bilan provisoire de cet article aux Meeropol Rosenberg ni à Wendy Johnson. Tous les propos de ce texte n’engagent que leur auteur.
Résumé et questions de principe :
In 1942 the (...)
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25 mai 2011, par Aliette G. Certhoux
DÉDICACE. Comment nous nous sommes connus ? C’était à Vincennes, au Comité de base. Ce que nous avions de différent des autres, c’étaient les enfants. Nous avions chacun un enfant. Jean-Paul et Claudie — Je dis son nom parce que Jean-Paul l’a publié en exergue de deux de ses livres, — avaient un fils et mon compagnon et moi, déjà mariés, nous avions un fils. Mais ni Claudie ni mon compagnon — déjà (...)
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4 juillet 2015, par Aliette G. Certhoux
Quand le lyrisme du mal circule à travers la structure évolutive d’un roman, ou d’une nouvelle, alors il devient organique — il monte en puissance de façon subliminale puis advient en nécessité esthétique. C’est la sublimation du mal. Cela peut concerner le meurtre, la maladie, le jeu et toutes sortes de désirs destructeurs ou auto-destructeurs, ou de prédations, à propos desquels la liberté de penser (...)