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12 septembre 2010, par Aliette G. Certhoux
L’article est une recension non exhaustive et forcément subjective et lacunaire (présentation d’excuses aux protagonistes qui s’en trouveraient blessés) des actes du programme publié dans le site de la parole errante, manifestation à laquelle nous avons assisté :
LES ROMS ET QUI D’AUTRE ?
Rassemblement contre le racisme d’État...
Samedi 11 septembre 2010 à partir de 13h30
Maison (…)
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17 octobre 2015, par Aliette G. Certhoux
à Edwige Belmore
III. LE RETOUR DE TANGER
Vincent, Pilote, Quinquagénaire, Michel, Fred (Off), Dalilah, Panama, Barmaid.
3. Le départ de Vincent
4. Dalilah sur « L’Agadir »
5. Vincent à Ibiza
6. Copier la Camargue par cibi depuis depuis Ibiza
Note : L’« Agadir »
Le Retour de Tanger — 3. Le départ de Vincent
Un Beachcraft décolle de l’aérodrome. Le vrombissement du (…)
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28 novembre 2008, par Aliette G. Certhoux
TARNAC, JE VOULAIS DIRE...
Il y a quelque chose d’hétérogène dans l’affaire de Tarnac qui rend la situation inclassable : on n’appelle pas l’hétéronomie (le principe de la vie), elle advient ou n’advient pas, or elle advient ; elle n’est qu’un fruit des circonstances et c’est bien pourquoi elle est fragile. A l’appeler on la fait fuir, à tenter de l’instrumenter on provoque le contraire : (…)
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31 octobre 2011, par Aliette G. Certhoux
TRAVAIL EN COURS DE CHANTIER - MERCI DE VOTRE COMPRÉHENSION FACE AU DÉSORDRE DE LA CONSTRUCTION ACCUMULANT UNE SOMME DE NOTES ET DE RÉFLEXIONS DE PREMIER JET.
Merci de ne pas imputer ce synopsis critique et le bilan provisoire de cet article aux Meeropol Rosenberg ni à Wendy Johnson. Tous les propos de ce texte n’engagent que leur auteur.
Résumé et questions de principe :
In 1942 (…)
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10 novembre 2015, par Aliette G. Certhoux
André Glucksmann est mort dans la nuit du 9 au 10 novembre vient d’annoncer son fils Raphaël.
Sincèrement touchée et triste.
Le Glucks, moi je l’appelais toujours : André.
La dernière fois que nous avions pris un café ensemble, c’était avec mon compagnon place de la Bastille, où André et Françoise — Fanfan, que personnellement j’appelais aussi par son prénom, comme tous ceux que (…)
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26 juillet 2009, par Aliette G. Certhoux
Fin de vie
Il revient à ma mémoire des souvenirs familiers. Je revois ma blouse noire lorsque j’étais écolier. Sur le chemin de l’école je chantais, à pleine voix, des romances sans paroles. Vieilles chansons d’autrefois... "Douce France ! Cher pays de mon enfance, bercée de tendre insouciance — je t’ai gardée dans mon cœur !" Mon village au clocher, aux maisons sages, où les enfants de mon (…)
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29 août 2011, par Aliette G. Certhoux
Postamour - 1. Éditorial post-estival.
Deux femmes glorieuses chantent pour un homme ; les mains en visière protégeant leurs yeux face aux sunlights, elles cherchent à repérer le leur, assis en bonne place ou en aparté parmi le public qu’elles fascinent. De ces hommes elles sont mortes. Ainsi, de femme en homme et d’homme en femmes, où les places sont interchangeables, de désastre humain (…)
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10 octobre 2015, par Aliette G. Certhoux
à Edwige Belmore
II. LE VOYAGE A TANGER
Vincent, Dalilah, Banquier, Croupier, Directeur des jeux, Vieux.
1. Vincent et Dalilah
2. Dalilah dans le souk
Note : Baccara (le jeu)
Le Voyage à Tanger — 1. Vincent et Dalilah
De lourds conditionneurs encombrent le haut des fenêtres, partiellement masquées par des rideaux. Sous d’antiques ventilateurs, qui ne tournent plus, une fo
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4 juin 2013, par Peer C. Hansen,
Ken McKenzie Wark,
Aliette G. Certhoux
Voici le cas particulier de notre temps, le temps de désintégrer le spectacle. Le détournement s’est avéré un énorme mouvement social et global, en tout sauf le nom. Des millions de personnes sont là, à partager la culture pour une raison ou pour une autre, à partager des fichiers et à les refaire. Mais il y a deux problèmes en soi. D’abord, la refonte — le détournement — n’est pas critique. (…)
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4 juillet 2015, par Aliette G. Certhoux
Quand le lyrisme du mal circule à travers la structure évolutive d’un roman, ou d’une nouvelle, alors il devient organique — il monte en puissance de façon subliminale puis advient en nécessité esthétique. C’est la sublimation du mal. Cela peut concerner le meurtre, la maladie, le jeu et toutes sortes de désirs destructeurs ou auto-destructeurs, ou de prédations, à propos desquels la liberté (…)