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9 décembre 2009, par Guy Darol
Pour ceux qui l’ignoreraient encore, le rock est soluble dans la littérature. Hostile aux mœurs fossiles et à la biensonnance, il est la source où vont boire les écrivains qui cherchent la frénésie quand d’autres se rencognent au fond de leur contemplation. Toute une génération happée par la lecture de Jack Kerouac et de William S. Burroughs s’est coulée dans ce microsillon fertile où l’on conduit son œuvre en rêvant, les yeux parfois fermés, une bouteille couleur malt à portée de main.
Il en est résulté (...)