En réponse à :
3 décembre 2010, par Paul Claudel
Il pleut doucement, la nuit est venue. Le policier prend la tête, et, cessant de parler de l’époque où, marmiton lui-même dans le corps d’occupation, il vit le chef de bataillon installé dans le sanctuaire du Génie de la Longévité, il tourne à gauche. Le chemin que nous suivons est singulier : par une série de venelles, de passages, d’escaliers et de poternes, nous débouchons dans la cour du temple, qui, de ses bâtiments aux faites ongles, aux longues cornes angulaires, fait au ciel nocturne un cadre (...)