En réponse à :
5 juillet 2010, par Régis Poulet
Qu’on abandonne une représentation et c’est un Rubicon de franchi, l’on évolue alors dans un espace de pensée différent où tombent les unes après les autres des peaux devenues mortes et dont on s’était jadis constitué une identité et une assise. Mais il est aussi vrai que l’envie de se nourrir de ces peaux mortes caractérise des acariens de la pensée. Ils préfèrent consommer des débris d’idéologies dans les replis saturés de moiteur de leur esprit qu’aller à l’air libre et à la lumière.
On ne va certes pas (...)