En réponse à :
14 septembre 2012, par Bernard Ciancia ,
Marie Frering
Hic et nunc, dans le silence arrêté de l’image, il écoute le bruit des pas de sa bien-aimée derrière lui. Le regard suspendu à la lumière devant lui, accroché à une tache de ciel à venir, il est à la jonction de deux mondes, il touche presque la frange de la vie à rejoindre. Son front ceint l’est encore de la couronne du portefaix, rien n’est gagné, l’obscurité souterraine des entrailles retient le bas du corps, il est malaisé de se presser pour quitter la vallée des ténèbres. Aux Enfers, sa lyre a (...)