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18 septembre 2011, par Jack London
Maintenant c’était la fin.
Subienkow, le Polonais, après avoir, depuis Varsovie et la Sibérie, suivi une longue piste d’amertume et d’horreur, et comme le ramier qui tend à tire-d’aile vers son colombier, avoir sans cesse, du regard, fixé dans sa course les capitales salvatrices de l’Europe civilisée, s’était écrasé sur le sol, plus loin que jamais de son but, dans ce coin perdu du monde polaire. Ici, dans l’Amérique du Nord, la piste cessait. Il était accroupi dans la neige, les bras liés derrière le (...)