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5 mars 2004, par François Bon
Je croyais les inventaires une sorte de monopole posthume de Georges Perec, qui a parlé lui aussi de l’art de classer ses livres, y compris pour ce célèbre ami à lui, qui vit toujours dans une chambre minuscule avec juste de la place pour les livres en dessous le lit : quand on en ajoute un, il faut en enlever un autre. On vit ainsi dans la tension entre accumuler, l’étagère des Minuit, l’empilement des POL, et ceux qu’on considère un peu fétiches, genre Lowry Faulkner Carver, et puis (...)