En réponse à :
20 janvier 2010, par Paul Verlaine (1844-1896)
Ouverture
Je veux m’abstraire vers vos cuisses et vos fesses, Putains, du seul vrai Dieu seules prêtresses vraies, Beautés mûres ou non, novices et professes, Ô ne vivre plus qu’en vos fentes et vos raies !
Vos pieds sont merveilleux, qui ne sont qu’à l’amant, Ne reviennent qu’avec l’amant, n’ont de répit Qu’au lit pendant l’amour, puis flattent gentiment Ceux de l’amant qui las et soufflant se tapit.
Pressés, fleurés, baisés, léchés depuis les plantes Jusqu’aux orteils sucés les uns après les autres, (...)