En réponse à :
18 mars 2009, par Constance Krebs
Laissons-nous aller au rêve du libraire idéal. Celui qui connaît mes goûts et mes désirs, ma sensibilité et qui s’y attache, en toute discrétion - et à discrétion. Le libraire est avant tout un lecteur, et un fournisseur qui connaît sa clientèle. Oublions celui qui refuse de répondre aux interviews sous des prétextes futiles : (à Paris) Le numérique ? ça me rapporte 1 à 5% pour un investissement en temps disproportionné ; (à Paris) le projet n’est pas prêt, on ne communique pas ; (à Chinon) comment (...)