En réponse à :
21 mars 2014, par Nguyễn Việt Hà
De Hanoi à Saigon, en passant par l’Europe et l’Amérique, de jeunes Vietnamiens sont confrontés à une impasse matérielle et morale. Désespérés, ils se réfugient dans l’exil, l’argent, l’alcool ou la mort. La foi, au cœur de la littérature officielle, en une double émancipation sociale et nationale, a fait place ici à l’absence d’idéal dans la jeunesse de l’après-guerre. Vingt-cinq ans après la fin du combat contre les Américains, le Vietnam est aussi pauvre en héros qu’en événements.
Poursuivant notre (...)