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25 février 2013, par Carole Zalberg
Dans l’œuvre de Luc Lang*, on ne regarde pas les hommes tomber, qui pourtant ne font que ça trébucher, chuter, se ramasser, se vautrer, dans la boue, le mensonge, le chagrin, les souvenirs, les regrets et les remords, l’alcool. Parfois jusqu’à complète désintégration. On tombe avec eux, tout emmailloté qu’on est dans un tissu de voix aussi entêtées qu’entêtantes, dans le redoutable maillage des lieux, des corps, des visages formant personnages autant que les personnages eux-mêmes, dans la trame sans cesse (...)