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mars 2003, par Laurent Margantin
C’est en lisant le journal, le 21 décembre, que j’ai appris avec stupéfaction la mise aux enchères du contenu de l’appartement d’André Breton. Cette nouvelle fut un choc, car j’avais en mémoire le très beau texte de Julien Gracq dans En lisant en écrivant, où l’écrivain et ami de Breton évoquait l’ensemble des œuvres et objets collectionnés comme la figuration exacte de la vie intérieure de l’artiste. Il y allait en effet d’un intérieur : ce mot, Gracq le soulignait pour en accentuer toute la force, à la (...)