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1er octobre 2010, par Đỗ Kh.
Le portrait du Cheikh avait perdu son sourire sardonique. La pluie rendait tout, à peu près tout, mélancolique, avais-je noté à cette vision fugace au croisement des deux avenues. À la sortie de l’aéroport l’on pouvait choisir entre la Syrie et l’Iran, l’avenue Hafez Al Assad et l’avenue Imam Khomeiny avec Rafic ne Hariri un rien énigmatique qui dominait le carrefour, accroché au pont de l’autoroute. En fait, rien n’avait changé depuis ma dernière visite et le portrait était le même qu’à l’habitude. Mais (...)