En réponse à :
13 février 2006, par Roger Bozzetto
Imaginons la perplexité d’un anthropologue martien devant les productions culturelles de l’humanité. Il se trouverait devant une grande confusion pour ce qui regarde la littérature de l’imaginaire et sans doute désemparé devant la multitude des éléments. Il remarquerait une capacité d’invention sans limite et, en même temps, il prendrait la mesure de la difficulté insurmontable à rendre compte de façon claire des œuvres qui en relèvent. Comment distinguerait-il les mythes ou les contes ? Comment (...)