En réponse à :
25 octobre 2002, par Guy Debord
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La dernière après-guerre en Europe semble bien devoir se définir historiquement comme la période de l’échec généralisé des tentatives de changement, dans l’ordre affectif comme dans l’ordre politique.
Alors que des inventions techniques spectaculaires multiplient les chances de constructions futures, en même temps que les périls des contradictions encore non résolues, on assiste à une stagnation des luttes sociales et, sur le plan mental, à une réaction totale contre le mouvement de découverte qui a (...)