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29 juin 2020, par Régis Poulet
L’œil qui s’arrête sur les œuvres de Dominique Rousseau est tout à la fois saisi par l’ordre et le chaos.
On peut y reconnaître des formes animales archaïques comme un trilobite ou une limule, un tatou ou une tortue marine ainsi que de multiples formes végétales — et le tout s’entrecroise.
La présence d’inclusions végétales (de nombreuses fibres font la trame) ou minérales (tuf ici, gorgone là, pigments un peu partout), les traces laissées par les divers êtres dans la matière de l’œuvre et enfin toutes les (...)