En réponse à :
11 juillet 2007, par Hervé Chesnais
Alors, j’ai repris ses livres, j’ai regardé à nouveau son visage inquiet sur la page de Libération. Jamais encore je n’avais vu son visage, et c’était bon signe : ses livres m’avaient suffi, et de son nom naissaient tant d’images, que de son visage, je m’étais passé. Non que ses livres soient nombreux, une dizaine, et encore !
Louis-René des Forêts était ainsi : il n’en avait jamais fini d’écrire, de réécrire ses livres. Impossible satisfaction, à laquelle il n’aspirait pas :
"La plupart des fragments (...)