En réponse à :
février 2003, par Laurent Margantin
Dans le numéro de la Quinzaine littéraire du 15 février 2003, Louis Seguin s’émeut de l’action contre la vente Breton, après avoir signé la pétition contre cette vente sur le site remue.net. J’ai réagi à cette lettre avant sa parution dans le cadre de la liste Breton animée par François Bon et moi-même. L’enjeu de cette discussion reste toujours de savoir où les oeuvres de Breton seront le plus utile : dans un coffre-fort de riche collectionneur, ou dans un musée ouvert au public et pouvant continuer d’agir (...)