En réponse à :
29 novembre 2009, par Laurent Margantin
1.
Le siffloteur était à l’œuvre très tôt le matin. On entendait le son aigu du fond de son lit, incapable de se rendormir. Il vous poursuivait dans la chambre à côté, qui donnait elle aussi sur le parking derrière l’immeuble. En ouvrant le volet, on constatait qu’il n’y avait personne dehors.
Autour du parking, il y avait quelques maisons et leur jardin impénétrable. Le siffloteur était-il caché dans la végétation, comme ces lézards qu’on trouvait par ici et qui sortaient rarement de leur cachette ? De (...)