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22 octobre 2009, par Laurent Margantin
On a envie, aujourd’hui, de saluer un poète-traducteur, et de lui témoigner simplement de la reconnaissance pour un travail entrepris voici une trentaine d’années et qui paraît aujourd’hui : Les poèmes de Maximus, de Charles Olson.
C’est un poème américain d’une ampleur impressionnante qu’il nous donne à lire en 600 pages, une somme avec celle du Paterson de William Carlos Williams traduite par Yves di Manno (José Corti).
A son sujet, Auxeméry, dans une étude qui suit le poème intitulée "Maximus ou la (...)