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19 février 2007, par Denitza Bantcheva
Le début d’un grand romancier est souvent l’annonce de toute l’œuvre à venir ; tel est le cas de Rouge vénitien, où l’univers pasinettien se révèle à nos yeux et nous absorbe dès les premières pages. La famille Partibon, dont les protagonistes, les jeunes Giorgio et Elena, s’attend à voir mourir la vieille grand-mère, une matriarche plus crainte qu’aimée. Cette situation pourrait correspondre au thème d’une époque qui s’achève, si elle était traitée de façon traditionnelle ; le romancier la (…)