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19 septembre 2018, par Wilfried Idiatha
Comme on le dit souvent, la littérature gabonaise n’a pas encore atteint le niveau qu’elle aurait dû avoir depuis de longues années. D’abord parce que les efforts qui ont été consentis par le gouvernement pour l’éducation de la jeunesse et ainsi, la production d’intellectuels capables d’assumer la narration de leur imaginaire a été conséquente, malgré quelques faiblesses. Mais aussi, parce que leur capacité à reproduire les faits de leur société n’est point enviable à d’autres plumes du continent, même si (...)