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19 avril 2011, par Cédric Bouchoucha
Si nous ne devions retenir qu’un plan dans toute l’œuvre de Stanley Kubrick, nous en retiendrions deux : le dernier de 2001, si mystérieux, ouvert à toutes les interprétations (enfant-lumière, réincarnation, nouvelle race vivante etc. …), et celui de Full Metal Jacket, qui débute par un gros plan de Guignol, les yeux embués, avant de finir sur une fosse commune devant laquelle pleure le soldat. Pour ce plan, Kubrick utilise une figure visuelle chargée de sens : le zoom arrière. Cette figure de style, (...)