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31 juillet 2012, par Lucien Suel
Une âme en incandescence avait glissé sur les genoux d’Alfonsina qui, sous les influences conjuguées de la poésie d’Emily Dickinson, de la chaleur estivale et de l’oscillation de la balancelle, venait de s’endormir. La mélodie carillonnante du beffroi d’Armentières la ramena dans la population active. Quatre coups suivirent l’interprétation de La Madelon.
Alfonsina rentra avec son livre, se regarda dans le miroir du salon, attrapa son sac à main sur le buffet et sortit sur la Grand-Place en (...)