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22 août 2010, par Elisabeth Poulet
Le dernier roman de Denitza Bantcheva débute comme un avertissement : la narratrice, en route pour l’aéroport où elle doit retrouver son jeune demi-frère, manque d’avoir un accident. Le pire est évité et elle assiste, spectatrice inutile, « au petit chaos humain » qui se joue quelques mètres plus loin.
Pourtant, l’été semble bien engagé pour cette scénariste à succès qui se retire dans une belle maison de la côte méditerranéenne afin de réfléchir et faire le point sur son existence. Le (…)