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                            25 juin 2010, par  André Laude (1936-1995)
                            
Depuis que j’ai reçu votre aimable invitation à apporter ma pierre à cet « hommage viril » que vous vous apprêtez à dresser au poète des BIENS DE CE MONDE, il m’a fallu, difficilement, tenter de mettre de l’ordre dans mes idées. Comme un obscur rendez-vous votre lettre m’est parvenue à l’heure juste. Depuis quelque temps je hantais littéralement —  bien que je ne m’en éloigne guère —  l’univers de celui qui s’est toujours situé à la limite des féeries et des marais. 
	Etant presque voisin (…)