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16 août 2011, par Annie Abrahams,
Xavier Leton
Publié pour la première fois le 2 novembre 2007, je publie à nouveau le film, Les chênes verts, d’Annie Abrahams. Cette fois, dans le cadre l’éditorial estival 2011 intitulé « Vous êtes ici ».
Aujourd’hui, je vous propose de poser le regard sur un amour filiale & filaire.
Rien ne semble bouger.
l’amour passe par les mains,
les cartes et les fils.
Bonne vision & bonne (…)
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14 septembre 2009, par Xavier Leton
Pas_Sages Piétons : L’escalier est un espace de jeux. Souvenez-vous.
Peu importe qu’il nous permette de passer d’une partie basse, de la mer, à une partie haute abandonnant les quais. Son utilité n’est pas là. Ou seulement pour ceux qui ne voient dans l’escalier que la fonction.
Le jeux est dangereux. L’escalier a une face cachée et secrète. Il suffit de courir dans un escalier, de (…)
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26 août 2011, par Xavier Leton
J’édite à nouveau ce texte issu d’une nouvelle épistolaire. C’est la dernière lettre de cette nouvelle — mauvaise nouvelle ? C’est bientôt le dernier texte de cet « édito_d’été ».
Cette lettre marque la fin d’une histoire. C’est un coude plié qui tend la main vers le clavier. Les doigts face au désordre des lettres du clavier C’est le début d’une fin. Parce la fin dure longtemps. (…)
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15 août 2011, par Xavier Leton
« Summer of Love on the RdR », parlait d’amour,
mais pas uniquement.
« Balade islandaise », parlait de balade,
mais pas uniquement.
« Côte d’ivoire - année zéro », parlait d’amour et de voyage,
mais pas uniquement. Voici « ...Vous êtes Ici... », sachant que vous êtes sur Internet donc sur un flux. Si il cesse, il vous laissera « perdus », « nulle part »,
mais pas (…)
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20 août 2011, par IAAAI,
Xavier Leton
Je vous propose, _patience_ de IAAAI. Nous élargissons le cercle des relations en allant vers les villes.
VIRUS : STREET HACKER POETRY ARCTIONS IN PUBLIK SPACES
Ne vous laissez pas contaminer, vous l’êtes déjà...
Bonne vision, bonne lecture
« _Patience_ » est un film de « IAAAI », artiste vidéaste abordant la performance dans la réalité et sur le réseau distant.
Avec ce film (…)
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14 septembre 2009, par Xavier Leton
Pas_Sage Piétons :
« Respect » pour ceux qui parlent dessinent peignent racontent pour ceux qui se taisent.
Si les « Tag’s », les signatures sont dessinés sur les bornes les bancs, et plus si affinités ; les graffiti sont dessinés à la périphéries du quartier. Les derniers murs aveugles du quartier tournent leur regard vers l’autoroute et le « Stade Olympique », les fresques urbaines ont (…)
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14 septembre 2009, par Xavier Leton
Pas_sage Piéton :
Imaginez que dans votre quartier, la ville abandonne un parc. Vous voilà face à un espace entouré, fermé par des grilles.
Dans les allées les plantes vivaces émergent du gravier blanc. Les arbres étendent leurs branches par-dessus les grilles. Les pointes ne menacent rien et le ciel. Les branches tentent, les bras se tendent. L’approche se fait, la main accroche. Et hop (…)
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6 mai 2009, par Hafid Braham,
Xavier Leton
C’est le premier film de fiction que je vous présente. Comment filmer la pauvreté qui gangrène la société algérienne, sans tomber dans une critique acerbe des pouvoirs, ce qui condamnerait le film à ne connaitre aucun public ? Comment filmer la solidarité, l’amitié profonde qui unit les habitants d’une ville, d’un quartier ?
Au lendemain des élections où tous les pouvoirs se mêlent pour (…)
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19 août 2011, par Xavier Leton
je prends, à nouveau...
J’aime le désordre,
l’amour le crée.
[...]
« Chaque couple, quel qu’il soit, comporte un troisième personnage continuellement présent. [...] Avec ou sans ami de la femme, avec ou sans amie de l’homme, avec ou sans souvenirs écrasants, paternels ou maternels, avec ou sans enfants, avec ou sans nette perspective d’ouverture, les deux partenaires de chaque (…)
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14 septembre 2009, par Xavier Leton
Pas_Sage Piéton :
Nous travaillons avec des dames, cette fois. La cinquantaine, venant du monde entier, elles sont discrètes et silencieuses. Elles ont appris à passer inaperçues. Filmer sans que les frères, les maris ne les voient, est un jeu auquel elles se prêtent, plus ou moins facilement.
La fontaine apaise autant que la mer. « Les soucis s’échappent et ça va mieux... »...
La mer (…)