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9 juillet 2012, par Aliette G. Certhoux
L’année 2010 est le centenaire de l’hommage qu’André Gide rendit à Charles-Louis Philippe après sa disparition, — dès les mois de janvier et février suivant sa mort, — avec l’opus 14 de La Nouvelle Revue Française. Cet opus réédité en 2009, présente les références incontournables d’un premier contact avec la biographie de Charles-Louis Philippe et des principaux auteurs qu’il intéressait (…)
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2 décembre 2013, par Aliette G. Certhoux
À propos de l’ouvrage de Valérie Guillaume sur Jean Baudrilllard et le Centre Pompidou, à paraître durant la première semaine de décembre 2013, voici un compte rendu critique non exhaustif, avec quelques idées personnelles (en particulier sur la rupture de Oublier Foucault dans le parcours de son auteur), et ressenti, de l’après-midi du 28 novembre à la BnF consacrée à Jean Baudrillard, lors (…)
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7 novembre 2010, par Aliette G. Certhoux
5-6 novembre 2010. Il y a un an... .
L’hommage « Mort de Jacno / Non mort de Jacno » est dédié à sa fille, née d’Elli Medeiros, la chanteuse compositrice Calypso Gallois.
JACNO (3 juillet 1957, 5-6 novembre 2009).
Moins de deux semaines après sa disparition, l’hommage de la Presse à l’artiste et la communication commerciale de ses productions dans tous les sites de vente en ligne, (…)
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19 novembre 2010, par Aliette G. Certhoux,
Guy Debord ,
Ivan Chtcheglov,
Michel Mourre,
Raoul Vaneigem,
Serge Berna
http://translate.google.com/# /// Le premier happening des avant-gardes révolutionnaires de "l’après-guerre" a probablement lieu il y a soixante ans, à Paris, le 9 avril 1950. Premier c’est à dire le premier dont l’événement est international. Il faut dire que l’enjeu en partage vaut la chandelle. Qu’on en juge... C’est le jour de Pâques, pendant la grand messe célébrant la résurrection du (…)
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20 décembre 2014, par Aliette G. Certhoux,
Corinne Bonnet,
Olivia Clavel,
Pacôme Thiellement
Corinne Bonnet accueille Olivia Clavel pour une exposition exceptionnelle de peintures et d’encres sur toile et sur carton, comprenant entre autre un cycle inédit en petits formats au punctum de miniatures. C’est à la galerie Dufay-Bonnet, Cité artisanale, 63 rue Daguerre à Paris XIVe. Du 19 décembre 2014 au 24 janvier 2015 — voir les horaires dans le site www.dufaybonnet.com
Enfin Jung ! (…)
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25 mai 2011, par Aliette G. Certhoux
DÉDICACE. Comment nous nous sommes connus ? C’était à Vincennes, au Comité de base. Ce que nous avions de différent des autres, c’étaient les enfants. Nous avions chacun un enfant. Jean-Paul et Claudie — Je dis son nom parce que Jean-Paul l’a publié en exergue de deux de ses livres, — avaient un fils et mon compagnon et moi, déjà mariés, nous avions un fils. Mais ni Claudie ni mon compagnon — (…)
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28 novembre 2012, par Aliette G. Certhoux
À Nelson Mandela Un jour avant le vote sur le statut palestinien d’État non-membre observateur de l’ONU, la France soutient[[Ce n’est pas un changement d’attitude car dès l’été dernier le gouvernement français récemment élu était consulté par les officiels palestiniens représentatifs de ce projet et avait fait savoir qu’il approuverait la proposition d’Abbas à l’ONU. Ce qui au contraire (…)
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28 novembre 2008, par Aliette G. Certhoux
TARNAC, JE VOULAIS DIRE...
Il y a quelque chose d’hétérogène dans l’affaire de Tarnac qui rend la situation inclassable : on n’appelle pas l’hétéronomie (le principe de la vie), elle advient ou n’advient pas, or elle advient ; elle n’est qu’un fruit des circonstances et c’est bien pourquoi elle est fragile. A l’appeler on la fait fuir, à tenter de l’instrumenter on provoque le contraire : (…)
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13 juillet 2009, par Aliette G. Certhoux,
Stéphane Gatti
Voici la lettre de "La Parole Errante" signée par Stéphane Gatti, père de Joachim Gatti, qui est aussi le petit-fils aîné du dramaturge et poète Armand Gatti, avec prière de largement diffuser, contre la désinformation par l’AFP et par la Presse ("Libération" le premier, et pour ne pas nommer de journal qui n’aurait à ce jour rien publié encore, reprend de façon douteuse les informations (…)
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26 septembre 2014, par Aliette G. Certhoux
Est-ce une hallucination ? L’otage français est mort. « Parce qu’il est français », a dit le Président s’adressant aux français depuis les États-Unis où il a fait migrer une partie de son gouvernement et la maire de Paris pour quelques jours.
Non, pas parce qu’il est français : parce qu’on fait la guerre et c’est sans rançon, comme d’autres il y a longtemps purent dire « pas de prisonniers (…)