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15 mai 2011, par Aldo Zargani
Par un après-midi de juillet 1945, au cinéma Doria de Turin, “on donnait” un documentaire sur Buchenwald. Les opérateurs de la Combat Film avaient fait progresser le cinéma durant la seconde guerre mondiale, mais personne parmi les spectateurs n’était en mesure de percevoir des messages à caractère culturel. Une des raisons, certainement pas la plus importante, était qu’il manquait un bon bout de temps encore avant l’avénement des ciné-clubs. Et puis ni l’atmosphère ni l’instant ne se prêtaient à des (...)