En réponse à :
17 octobre 2011, par Marina Ondo
Introduction
« La maîtrise du destin, éternel combat de l’homme, serait-elle l’entreprise conjuguée des forces occultes ? » (LFC, quatrième de couverture). Bernard Mouralis se pose clairement la question prépondérante que soulève La flamme des crépuscules. Face à la crise de conscience qui mine le continent africain, Jean René Ovono Mendame nous enjoint d’explorer un sujet polémique aujourd’hui : l’homme en perpétuelle lutte pour sauvegarder sa culture ou pour s’approprier la culture de l’Autre. Vu sous (...)