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16 novembre 2013, par Régis Poulet
La représentation de l’Autre, quel qu’il soit, se fait toujours au risque de le prendre pour miroir et d’y projeter ce qu’on veut y voir et qui nous convient. L’imagologie a fort bien mis en évidence la différence entre un discours sur une altérité réflexive (l’alter) et celui sur une altérité absolue (l’Alius). Cette approche comparatiste, qui étudie comment le discours d’un peuple sur un autre est conditionné par son imaginaire, aurait pu être retenue par David Diop dans son étude de la représentation de (...)