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22 janvier 2014, par Elisabeth Poulet
« Duras survit sans difficulté. Elle n’a guère connu de purgatoire – puisque c’est ainsi qu’on désigne la période d’inattention, parfois même d’oubli complet qui suit la mort des écrivains et précède, dans le meilleur des cas, leur transformation en classiques. » C’est ainsi que Dominique Noguez débute son essai sur Marguerite Duras, expliquant que cette survie extraordinaire a été pour lui une vive incitation à l’écriture de cet ouvrage. Notons avec regret que les textes composant cet ensemble ont déjà, pour (...)