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                            13 septembre 2011, par  Nicolas Boldych
                            
On va à Doel parce qu’on a vu des photos de Doel, des images variant au gré du regard des artistes qui photographient tant qu’il est temps. On a vu du fer, des briques, du vide, des ombres humaines, la silhouette lunaire à la fois stable et oppressante de la centrale nucléaire homonyme. Et on s’est dit que quelque malédiction était à l’origine de cet art. Que le mauvais œil pouvait donner, par ricochets, naissance à des images enthousiasmantes. 
 A Bruxelles ou Anvers  plusieurs expositions (…)