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22 janvier 2016, par Aliette G. Certhoux
à Edwige Belmore
VIII. LA GARE FERROVIAIRE DE SÈTE
Dalilah, Barman (Pedro), Zip
15. On se connaît
16. Tout le monde se connaît
IX. LA PLACE À QUAI DU PAQUEBOT-ÉCOLE
Dalilah, Barman (Pedro)
17. Un grand vide
La gare ferroviaire de Sète — 15. On se connaît
Au buffet de la gare, un marin en tenue d’été de la marine nationale (sans doute en permission) s’acharne sur (…)
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10 octobre 2015, par Aliette G. Certhoux
à Edwige Belmore
II. LE VOYAGE A TANGER
Vincent, Dalilah, Banquier, Croupier, Directeur des jeux, Vieux.
1. Vincent et Dalilah
2. Dalilah dans le souk
Note : Baccara (le jeu)
Le Voyage à Tanger — 1. Vincent et Dalilah
De lourds conditionneurs encombrent le haut des fenêtres, partiellement masquées par des rideaux. Sous d’antiques ventilateurs, qui ne tournent plus, une fo
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20 décembre 2014, par Aliette G. Certhoux,
Corinne Bonnet,
Olivia Clavel,
Pacôme Thiellement
Corinne Bonnet accueille Olivia Clavel pour une exposition exceptionnelle de peintures et d’encres sur toile et sur carton, comprenant entre autre un cycle inédit en petits formats au punctum de miniatures. C’est à la galerie Dufay-Bonnet, Cité artisanale, 63 rue Daguerre à Paris XIVe. Du 19 décembre 2014 au 24 janvier 2015 — voir les horaires dans le site www.dufaybonnet.com
Enfin Jung ! (…)
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8 août 2017, par Aliette G. Certhoux
Jean-Paul Curnier est mort le 5 août 2017. Inhumé le 8 août au cimetière d’Arles. Sa disparition serait une catastrophe mais il ne disparaîtra pas. Son œuvre prolifique dit que sa vie posthume en correspondances multiples prendra son temps.
Si l’humour est une substance de la pensée c’est au moment où l’incongruité ne fait pas seulement advenir le rire mais jusqu’à l’altérité en existence. (…)
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29 août 2011, par Aliette G. Certhoux
Postamour - 1. Éditorial post-estival.
Deux femmes glorieuses chantent pour un homme ; les mains en visière protégeant leurs yeux face aux sunlights, elles cherchent à repérer le leur, assis en bonne place ou en aparté parmi le public qu’elles fascinent. De ces hommes elles sont mortes. Ainsi, de femme en homme et d’homme en femmes, où les places sont interchangeables, de désastre humain (…)
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31 octobre 2015, par Aliette G. Certhoux
à Edwige Belmore
V. LE PETIT NAVIRE
Dalilah, Barman (Pedro), Fillette, Petit garçon.
11. Le bar à l’heure de la sieste
Le Petit Navire — 11. Le bar à l’heure de la sieste
Sète. Non loin de la halle de la criée, de construction récente, anachronique avec les immeubles d’habitation qui bordent le quai, c’est un autre bassin portuaire où sont alignés des bateaux de pêche... (…)
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12 septembre 2010, par Aliette G. Certhoux
L’article est une recension non exhaustive et forcément subjective et lacunaire (présentation d’excuses aux protagonistes qui s’en trouveraient blessés) des actes du programme publié dans le site de la parole errante, manifestation à laquelle nous avons assisté :
LES ROMS ET QUI D’AUTRE ?
Rassemblement contre le racisme d’État...
Samedi 11 septembre 2010 à partir de 13h30
Maison (…)
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9 juillet 2012, par Aliette G. Certhoux
L’année 2010 est le centenaire de l’hommage qu’André Gide rendit à Charles-Louis Philippe après sa disparition, — dès les mois de janvier et février suivant sa mort, — avec l’opus 14 de La Nouvelle Revue Française. Cet opus réédité en 2009, présente les références incontournables d’un premier contact avec la biographie de Charles-Louis Philippe et des principaux auteurs qu’il intéressait (…)
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1er février 2012, par Aliette G. Certhoux
Si le radicalisme rigoureux peut conforter la pensée, il peut tuer l’activisme. Il y a des compromis qu’il ne faut surement pas faire pour ne pas basculer dans la réversibilité de l’action ou du programme, reste à savoir lesquels, mais il en est qui pourraient bien devoir être nécessairement faits pour rester en masse progressiste et progressive, reste à savoir lesquels.
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Le « staff » (…)
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4 juillet 2015, par Aliette G. Certhoux
Quand le lyrisme du mal circule à travers la structure évolutive d’un roman, ou d’une nouvelle, alors il devient organique — il monte en puissance de façon subliminale puis advient en nécessité esthétique. C’est la sublimation du mal. Cela peut concerner le meurtre, la maladie, le jeu et toutes sortes de désirs destructeurs ou auto-destructeurs, ou de prédations, à propos desquels la liberté (…)