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19 juillet 2009, par Béatrice Commengé
La voiture, qui arrivait de Zurich, venait de dépasser Schaffhausen : elle était entrée en Allemagne. De ces deux villes, je n’avais rien vu : les routes ne conduisent plus qu’à d’autres routes. On se contente de changer les noms sur des panneaux. Les villes sont devenues superflues : on les aperçoit de loin, au bout d’une bretelle. Aucune chance de les découvrir par hasard. La ville doit être votre but ou ne pas être. Or, Zurich n’était pas mon but, ni Schaffhausen. J’ai fait comme tout le monde, je (...)