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25 septembre 2012, par Noria Adel
À Damas, Salâh ad-Dîn vacille ne sachant jaillir de sa pierre
L’urine bouillante en s’évaporant brouille ses arrières
Et le dessine tel un Don Quichotte armurier gris
Qui ne craint ni les voitures ni les jets de huiles caniculaires
Là où ses yeux ne regardent que les ennemis,
Un Saule a poussé et balance ses feuilles tant ses branches avaient porté le deuil
Tant ses branches avaient balancé des corps comme autant de feuilles
Chut ! Ce n’est qu’un mythe !
Comme la statuaire qui tranche le vide (...)