En réponse à :
20 mai 2011, par Marie Cosnay
Le travail de Marie Cosnay et son implication citoyenne n’ont pas cessé de s’interpénétrer.
Mais la littérature, c’est le lieu de l’expérience de la langue. Ce qui est haut, violent, et prfondément humain ici, c’est que la violence faite aux hommes, on se saisit de son instance de langue.
Arrêtons, à force de nos propres mots – et ici, on convoquera quelques figures favirables, Foucault, Socrate, Mandelstam, Hannah Arendt – la machine à broyer par la langue, et la machine à dominer les hommes pourrait (...)