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9 avril 2010, par François Lunel
Ça s’appelle Keremma, c’est un lieu introuvable sur une carte, une bande de terre en bord de mer, un endroit magnifique. On y va pour écrire et finalement, c’est la nature qui nous barbouille dessus, qui nous griffonne sur la peau sa vérité brutale.
Il y a cette chose infernale de l’absence d’elle, renforcée par l’effet de proximité, par l’odeur de ce corps vagabond qu’elle promène partout et qui a envahi la maison, c’est dans ma tête aussi bien qu’en dehors, dans les pièces, dans chaque recoin de la (...)