En réponse à :
22 juin 2004, par Serge Velay
Où l’on voit l’auteur exposer certaines considérations à propos des habitués des colloques et de leurs moeurs, avant de prendre la parole dans une assemblée à laquelle il a été convié.
Georges Bermond n’avait pas eu besoin d’insister :
"Tu pourrais tout de même y aller. Tu es trop discret, tu dois te faire connaître. Et puis il nous faut vendre des livres, et là, ma foi sait-on jamais..."
Georges connaît mes réticences, il n’ignore pas non plus qu’elles sont en train de virer à la franche aversion ; et (...)