En réponse à :
4 octobre 2011, par Roland Pradalier
L’éditeur à l’auteur :
Cher monsieur, Paris le 24/06/2007
Ayant pris connaissance du manuscrit que vous m’avez envoyé, et de la préface que vous lui avez adjoint, je me permets aujourd’hui de vous écrire pour vous demander la suite du texte, puisqu’il s’interrompt au troisième chapitre et que les 120 pages qui terminent le manuscrit ne contiennent que le mot « merde » répété ad libitum. J’ai beaucoup aimé votre livre, mais mon expérience me dicte d’éviter l’enthousiasme tant que je n’en aurais pas lu (...)