En réponse à :
2 juin 2010, par François Lunel
Je t’ai fait la courte échelle,
puis on est passé,
toi et moi,
de l’autre côté du mur.
Quelques nuits plus tard, au milieu d’une heure inconnue, on sort et on marche jusqu’à la mer, on s’assoit sur une couverture posée à même le sable frais, dans l’obscurité presque. Là, elle raconte une chose qui sur l’instant m’a semblé anodine, mais qui plus tard m’a éclairé sur l’histoire. Elle me parle de réussite. – Je réussissais tout ce que j’entreprenais, fillette, dans la danse, les études… il fallait que je sois (...)