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1er mai 2010, par Rodolphe Christin
Hector se faisait beau et prenait ses plus belles manières. L’eau courante à l’extérieur permettait de faire une toilette quotidienne, il se félicitait donc d’avoir lavé ses vêtements la veille. N’ayant pas eu le temps de faire sa valise, il devait veiller à la bonne tenue du peu qu’il avait. Il se demandait parfois s’il ne commençait pas à apprécier sa nouvelle existence, qu’il jugeait étrange et aventureuse, éprouvante mais excitante. La nature, qu’il fréquentait à de rares occasions, sinon de manière (...)