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10 octobre 2015, par Aliette G. Certhoux
à Edwige Belmore
II. LE VOYAGE A TANGER
Vincent, Dalilah, Banquier, Croupier, Directeur des jeux, Vieux.
1. Vincent et Dalilah
2. Dalilah dans le souk
Note : Baccara (le jeu)
Le Voyage à Tanger — 1. Vincent et Dalilah
De lourds conditionneurs encombrent le haut des fenêtres, partiellement masquées par des rideaux. Sous d’antiques ventilateurs, qui ne tournent plus, une fo
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22 janvier 2016, par Aliette G. Certhoux
à Edwige Belmore
VIII. LA GARE FERROVIAIRE DE SÈTE
Dalilah, Barman (Pedro), Zip
15. On se connaît
16. Tout le monde se connaît
IX. LA PLACE À QUAI DU PAQUEBOT-ÉCOLE
Dalilah, Barman (Pedro)
17. Un grand vide
La gare ferroviaire de Sète — 15. On se connaît
Au buffet de la gare, un marin en tenue d’été de la marine nationale (sans doute en permission) s’acharne sur (…)
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18 avril 2013, par Léon-Paul Fargue,
Aliette G. Certhoux
C’est en 1906, après le déboire du prix Goncourt, que Philippe entreprit d’écrire Charles Blanchard. Il répétait volontiers alors : Des romans ? Non, ce n’est pas cela que je veux faire, on arrange toujours un peu l’intrigue et le reste en vue du livre à 3fr 50. Je ne veux plus y songer ; et, du reste, pour ce que le "livre" vous rapporte ! Non ; j’écrirai désormais sans souci de la (…)
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26 juillet 2009, par Aliette G. Certhoux
Fin de vie
Il revient à ma mémoire des souvenirs familiers. Je revois ma blouse noire lorsque j’étais écolier. Sur le chemin de l’école je chantais, à pleine voix, des romances sans paroles. Vieilles chansons d’autrefois... "Douce France ! Cher pays de mon enfance, bercée de tendre insouciance — je t’ai gardée dans mon cœur !" Mon village au clocher, aux maisons sages, où les enfants de mon (…)
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10 novembre 2015, par Aliette G. Certhoux
André Glucksmann est mort dans la nuit du 9 au 10 novembre vient d’annoncer son fils Raphaël.
Sincèrement touchée et triste.
Le Glucks, moi je l’appelais toujours : André.
La dernière fois que nous avions pris un café ensemble, c’était avec mon compagnon place de la Bastille, où André et Françoise — Fanfan, que personnellement j’appelais aussi par son prénom, comme tous ceux que (…)
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3 octobre 2015, par Aliette G. Certhoux
Remerciements : Olivia Clavel
François Lasquin
Hommage à Edwige Belmore
à laquelle cette histoire à peine écrite
fut destinée
Mathématiques modernes Claude Arto et Edwige Belmore, Disco Rough
Jacno (production), éd. Celluloïd, 1980
4.01.2010 Wow !!! it’s been 3 years since the last post, how and why is time playing with me like this ? My life has been nothing but a (…)
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26 juillet 2009, par Aliette G. Certhoux
Orphée désenchanté ou le Pop cinéma contre la Télé-réalité
Yann Gonzalez, l’auteur et réalisateur du premier film d’acteur de Julien Doré, Les astres noirs, s’est livré à un journaliste à propos du scénario ; il s’agit de sa libre adaptation de la légende du joueur de flûte de Hamelin par les frères Grimm. C’est une légende non un conte, car elle déplace dans un univers imaginaire un (…)
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21 novembre 2007, par Aliette G. Certhoux
L’INCROYABLE ET LE MERVEILLEUX LIVRE QUI S’OUVRE DE LUI-MÊME : OU LE CASSE-TÊTE DE L’IVRE « HACKULTURATION »*
Abstract
Hackulturation, hackculture, c’est à la fois la crise iconoclaste et symbolique de la culture, où la figure de rhétorique viatique n’en serait pas une mais le paradoxe, à tous les niveaux de l’expérience, de la connaissance de la technique et de son ignorance, et de (…)
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2 mai 2005, par Aliette G. Certhoux
Ce jour encore il parle au présent. Qu’est le passé dans la nuit du chaos ?
L’avenir dans l’épuisement ? il ne sait plus. Un mètre carré autour de lui dans la brume ensoleillée de Hyde Park représente tout ce qu’il peut appréhender : voir.... Entendre au loin il peut. Mais restant immobile. Toucher il ne peut sauf lui-même : l’idée que son corps ne pourrait supporter un déplacement au-delà (…)
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4 juin 2013, par Peer C. Hansen,
Ken McKenzie Wark,
Aliette G. Certhoux
Voici le cas particulier de notre temps, le temps de désintégrer le spectacle. Le détournement s’est avéré un énorme mouvement social et global, en tout sauf le nom. Des millions de personnes sont là, à partager la culture pour une raison ou pour une autre, à partager des fichiers et à les refaire. Mais il y a deux problèmes en soi. D’abord, la refonte — le détournement — n’est pas critique. (…)