En réponse à :
février 2007
Voilà que la dernière heure est arrivée, celle où l’on sent bien qu’un lendemain
reste douteux. A condition de veiller, comme cette revue idéale le fait, au
reste de nuit qu’on voit disparaître en attendant autre chose : cet impossible
qui nous advient, qui circule au dedans et entre nous. Ensembles. (...)