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24 avril 2008, par Laurent Margantin
On lit et relit Kenneth Koch. Question de contenu mais surtout de rythme, on ne peut que relire, un poème après l’autre, ou alors au hasard des pages, combinant, mêlant comme lui les points de vue sur une vie. Kenneth Koch : né en 1925 à Cincinatti, mort le 5 juillet 2002. On le « range » dans l’Ecole dite de New-York, groupe de poètes apparu dans les années 50. Ce qui les réunit ? Une certaine liberté de ton, de vie surtout, qui n’est pas sans lien avec le surréalisme, une certaine façon directe de (...)