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13 mai 2009, par Laurent Margantin
Toute sa vie, Goethe n’a cessé de revenir à la figure de Faust. En France, nous connaissons surtout, grâce à la traduction de Gérard de Nerval, sa première pièce de théâtre inspirée par la légende du savant allemand pactisant avec le diable, et moins le Second Faust, achevé par le poète quelques mois avant sa mort. L’intérêt de cette édition est de nous offrir les deux œuvres dans une nouvelle traduction, en les faisant précéder d’un premier texte beaucoup moins connu, l’Urfaust, véritable matrice des (...)